(actuellement en tournée) 

 

(actuellement en tournée : en salle & en extérieur)

« Aventurier, pionnier, chercheur, fabricant de chimères, prophète ou révolutionnaire n'empruntent aucun couloir, si insolite soit-il, qui ne débouche sur un comptoir de vente. » Face à ces mots de Raoul Vaneigem, philosophe situationniste du siècle dernier, que peut-on encore espérer vivre ou accomplir, hors de toute zone commerciale ? En retraversant l'affaire de Tarnac, ou l'« opération Taïga », du nom de code adopté à l'été 2008 par les flics de la Sous-direction anti-terroriste, nous tenterons, dans la mesure du possible, mais par tous moyens, de porter la contradiction à ces propos.

    " C'est que maintenant... en faculté de médecine, on n'apprend plus les bases... les bases d'Hippocrate... avec les deux premiers principes, le premier étant l'alimentation/premier remède. Je sais pas si vous savez la médecine comment elle fonctionne... hein, l'alimentation premier remède, ce n'est plus enseigné qu'en option... et à la fin des études... Parce que c'est quand même le père de la médecine pour l'instant... ". 
A travers la figure d'Hippocrate, nous nous sommes lancés dans une enquête pour retrouver la signification originelle du serment, et ce qu'il reste - ou non - des principes fondamentaux et sacrés de la médecine.


(à venir)

« Quel malheur que d’être femme ! Et pourtant le pire malheur quand on est femme est au fond de ne pas
comprendre que c’en est un. »
Soren Kierkegaard

« Tout ce qui a été écrit par les hommes sur les femmes doit être
suspect, car ils sont à la fois juge et parti. »
Poulain DE LA BARRE

A travers cette petite histoire de l'humanité, nous laisserons parler les hommes d'abord ! (Une façon comme une autre d'avoir le dernier mot.) 

Spectacle soutenu par l'Institut Français de Tunisie.

 
 

(en création)

 
 

Crédit Photo : Thomas Dardenne

Le projet est né d’une rencontre récente avec les Archives Départementales de la Charente, et de l’envie de travailler sur la transmission de la mémoire au fil des générations et les liens qui existent entre mémoire, justice et territoire. Une série de questions sont alors jetées sur le papier, sorte de « memento » du projet à venir : Comment l’Histoire se transmet-elle au fil des générations ? A travers quel type de matériaux ? Qui écrit l’Histoire ? Selon quels critères ? De quoi hérite-t-on ? Le corps est-il une archive invisible ? L’ADN est-il stable ? Une archive peut-elle muter ? Peut-on écrire notre histoire, lorsque les archives n’existent pas ? Peut-on pardonner ce qu’on ignore ?